Presse

ALLERS RETOURS d’HORVATH mise en scène Alain Batis (2018-2020)

Les comédiens sont tous remarquables. Raphaël Almosni, si juste et poétique, mais aussi Sylvia Amato, Sophie Kircher, Marie-Céline Tuvache et leurs camarades, Alain Carnat, Laurent Desponds, Théo Kerfridin, Marc Ségala. Ils ont en partage une grâce, une vérité, un talent sûr. Un spectacle remarquable.

Le Figaro- Armelle Héliot (2018)


Nous saluons la mise en scène d’Alain BATIS, guignolesque et renversante. Elle appuie sur la gâchette du ridicule qui n’épargne personne, hormis Havlicek, interprété par l’excellent Raphael ALMOSNI.

Le Monde.fr -Evelyne Trân (2018)

CONTAGION de Fr. Bégaudeau mise en scène Valérie Grail (2017-2019)

Avec la même présence, la même fausse légèreté, la même complicité, la même angoisse en partie révélée. Raphaël Almosni et Côme Thieulin, un duo maitrisé de bout en bout, d’où fuse de l’humour, aussi. Parfait.

L’Humanité Gérald Rossi

Raphaël Almosni, complètement habité par son personnage est très émouvant.

Le Monde.frEvelyne Trân (2017)


Le professeur d’histoire, interprété avec justesse et conviction par Raphaël Almosni, essaie de prêcher la bonne parole. Ou plutôt, sa bonne parole : un esprit critique.

Rue du ThéâtreCécile Strouk

L’ECOLE des FEMMES de Molière mise en scène Philippe Adrien (2013-2017)

La scène du notaire est également un moment d’anthologie : Raphaël Almosni incarne un notaire totalement fou, aux gestes désordonnés.

Libre Théâtre


Raphaël Almosni, quant à lui s’illustre magistralement dans le rôle du notaire à grands renforts de postures jubilatoires. […]
Une réussite incontestable!

Théâtre.Com (2016)

Le rire est assuré (Ah, les confrontations d’Arnolphe avec son notaire, Raphaël Almosni, furieusement déjanté!)…

La Croix-Didier Méreuze (2013)

La scène avec le notaire (Raphaël Almosni) est un vrai régal, tant il incarne bien la folie de l’homme obsédé par les arcanes techniques de son travail.

France Catholique-Pierre François


La scène du notaire avec Raphaël Almosni est irrésistible. Et quand Oronte (Vladimir Ant), le père d’Horace et Henrique (Raphaël Almosni-toujours lui), le père biologique d’Agnès arrivent des Amériques, on n’en croit pas nos yeux. Ce sont deux amish qui se présentent à nous! Jusqu’au bout Philippe Adrien nous tient en haleine!

Scèneweb.fr (2013)

Saluons la performance de Raphaël Almosni qui incarne un notaire totalement extravagant. Une bien belle école à revisiter.

Théâtres.com-Laurent Schteiner

Les rencontres inopinées d’Horace et Arnolphe, l’arrivée hasardeuse d’un notaire à la gestuelle désarticulée (magistrale interprétation de Raphaël Almosni), la fuite avortée d’Agnès sont d’autant plus dynamiques qu’ils se déroulent dans des espaces distincts, à la géométrie variable…Un beau moment de théâtre!

Time Out Paris-Elsa Pereira

LA FEMME OISEAU d’Alain Batis (2013-2019)

Les deux personnages principaux sont interprétés par Raphaël Almosni qui campe parfaitement le bûcheron qui cède à la cupidité et Julie Piednoir qui incarne avec justesse et sensibilité la figure titre.

Froggy’s delight (2014)-Martine Piazzon

MYSTÈRE PESSOA mise en scène Stanislas Grassian (2011)

La qualité du spectacle tient d’abord à l’interprétation de ces personnages, et en particulier à celle de Raphaël Almosni et de Jacques Courtès.  Charismatiques et facétieux, ils habitent en effet la scène et donnent corps aux hétéronymes.

Laura Plas- Les trois Coups (2011)


Face à lui, se trouvent Ricardo Reis, le poète sobre, personnage attachant et un brin moqueur, interprété avec bien du talent par Raphaël Almosni, et Alvaro de Campos, le poète mystique s’enivrant de vin et de femmes, obsédé aux beaux mots, hétéronyme détesté de la belle Ophélia, incarné avec jouissance par Jacques Courtès, tous deux disciples du fringant et pourtant souffreteux Caeiro.

La revue Marseillaise du Théâtre (2011)

NEMA PROBLEMA de Laura Forti mise en scène ALAIN BATIS (2010)


Raphaël Almosni est sobre, il parle vite, se répète, dans une confession qui ne peut manquer d’émouvoir le public jusqu’aux tripes. Il raconte la guerre dans son horreur concrète, les charniers épars, les snipers, les pillages, les viols.

Visioscène

Comment faire cohabiter deux hommes dans un seul corps? Au travers de ce texte magnifique, deux hommes pour exprimer la douleur des souvenirs et la nécessité de la vie, Raphaël Almosni, poignant et magnifique, et le saxophoniste Stanislas de Nussac, brillant. La pièce se termine, et l’on reste un moment sans voix.

Les combats intérieurs-Anna Jaya


Le long monologue porté par le comédien, Raphaël Almosni, est celui d’un homme, un italien de mère croate, parti faire la guerre en Croatie quand il avait une vingtaine d’années…Le texte est fort, Raphaël Almosni est magnifique dans ce qu’il redonne d’humanité aux atrocités qu’il raconte, Stanislas de Nussac l’accompagne superbement au saxophone.

Martine Silber

Raphaël Almosni interprète le rôle du Comédien avec une fragilité et une sincérité qui nous parviennent simplement. Dans une course haletante il nous invite à partager ce dont personne n’a parlé, ce sur quoi aucun média n’a mis de mots ni d’images: la guerre et ses conséquences sur l’être humain. Dévasté, ravagé et anéanti, il porte avec une profonde humanité tout le poids d’une expérience de vie qui l’a fait basculer vers la mort, bien malgré lui…C’est une réussite artistique bouleversante.

Bruno Deslot

Raphaël Almosni incarne le narrateur avec une grande sensibilité, sans pathos, et c’est pourtant là la difficulté: peut-on faire théâtre de l’horreur?

Christine Friedel- Théâtre du blog

YAACOBI ET LEIDENTAL de Hanock Levin mise en scène Alain Batis (2008-2012)

Raphaël Almosni dans le rôle de Leidental est un homme en proie à une timidité maladive devant la vie. Le jeu est tout en tendresse et en émotion avec des tranches d’humour qui donne au personnage de la profondeur… Ici le cirque a rendez-vous avec le chant. La musique avec le théâtre, le cirque avec le cabaret. Toutes les gammes du jeu, vocales et corporelles, sont déployées. Une comédie, trente tableaux et douze chansons composent ce cocktail.

Théâtrorama (2009)

Raphaël Almosni transcende son rôle de Leidental, le triste raté. Jean-Yves Duparc est un Yaacobi parfait. Leur duo rejoint des figures éternelles, celles de Laurel et Hardy, ou encorre Vladimir et Estragon. Chaque moment est superbe, on se régale des gags, on goûte les propos acides, les dérapages verbaux, les phrases définitives…

Reg’Arts- Gérard Noël (2012)

Raphaël Almosni se distingue en un Leidental très fin, au désespoir éperdument drôle, dont le comique révèle à chaque instant le mal-être.

Théâtreonline-Alice Carré (2009)

Quant aux trois comédiens chanteurs ils excellent chacun dans leur partie, en particulier Raphaël Almosni qui nous régale de tirades dans le plus pur style de Woody Allen.

Anne Clausse – Ruedutheatre

QUAND PAOLA PART (court métrage) de Claude Saussereau (2007)

Le court-métrage « Quand Paola Part » Réalisé par Claude Saussereau a obtenu le 2eme prix des rencontres nationales du court métrage à Bourges. Raphaël Almosni , le comédien qui joue le rôle d’Albert , a obtenu le prix d’interprétation masculine.

Le Maine Libre (2008)

Claude Saussereau a su tirer parti d’un scénario original mettant en scène des personnages qui flirtent continuellement avec la frontière du tragi-comique. Le prix d’interprétation masculine décerné à Raphaël Almosni indique que la qualité des comédiens n’est pas non plus étrangère à la belle impression laissée par l’ensemble.

Regards sur un Palmarès

OHNE mise en scène Dominique Wittorski (2006)

…Face à lui, les employés affairés qui se succèdent, Alexandre Aflalo, Raphaël Almosni et Dominique Wittorski rivalisent d’expressivité clownesque, cocasses, pleins d’empathie et de désarroi pour l’égaré qu’ils ont devant eux… La mise en scène, le rythme en deux temps, survolté, mal à l’aise des employés, burlesque face à la patience calme du demandeur, sont épatants.

Sophie Creuz

BARTLEBY mise en scène David Géry (2004-2005)

Claude Lévêque, Raphaël Almosni, Jean-Claude Bolle-Reddat et Joachim Salinger sont parfaits, soignant les moindres détails de leurs personnages hauts en couleur.

COUPS de COEUR-PARISCOPE (2004)

David Géry a réuni une distribution puissante. Dans les rôles des collègues et autres silhouettes, Joachim Salinger, Gingembre, Raphaël Almosni, La Taille, sont précis et justes. Jean-Claude Bolle Reddat donne à Dindon son ambivalence cocasse.

LE FIGARO (2004)

André Chaumeau, Raphaël Almosni et Grégory Quidel apportent leur puissance burlesque. Claude Lévêque campe une humanité lucide, désemparée et profondément généreuse. Quant à Yann Colette, il est l’âme, la légèreté, la finesse, le souffle.

Georges Ghika- Théâtre de la Commune d’Aubervilliers (2005)

Une pièce où l’humour est aussi très présent notamment à travers les personnages hilarants des trois autres clercs, interprétés avec talent par Raphaël Almosni, Grégory Quidel et David Géry lui-même…

F.H. Théâtre universitaire de Nantes (2006)

SALE BOUCAN de Laurence RENN (2003)

Raphaël Almosni, Lionel Bécimol, Muriel Henry et Marc Ségala, accompagnés par les instruments et la malice de Laurent Gehant, sautillent, batifolent, se répètent, s’empêtrent, s’entre-déchirent et se chamaillent. Ils font alterner des numéros à un ou à plusieurs où leur maîtrise de l’art du clown est confondante de précision et de drôlerie. On rit franchement, et il arrive aussi que le sourire se crispe et que la bonne humeur tourne au vinaigre…

Catherine Robert (2003)

Alternant des numéros à un ou à plusieurs où leur maîtrise de l’art du clown est confondante de justesse, Raphaël Almosni, Lionel Bécimol, Marc Ségala et Muriel Henry, les protagonistes de cette parodie sociopolitique mettent l’accent, sans jamais tomber dans la lourdeur ou la démagogie, sur les dérèglements de notre époque…

Art et Culture-Zéna Zalzal – (Théâtre Monnot Beyrouth-2004)

ON A MARCHÉ SUR LA TERRE de François Cervantés (1992)

Raphaël Almosni, en idiot lucide qui cherche désespérément sa Suzie est drôle et tragique à la fois. Et on a qu’une envie, le consoler. Un vrai grand moment de théâtre.

Quotidien L’Olivié-Joëlle Kwaschin (Avignon)

Enfin, parmi les comédiens de la compagnie, toujours aussi justes, on notera la présence d’un nouveau venu: interprétant les rôles de Tonio et Bidet, Raphaël Almosni est fabuleux. On sort de la représentation liquéfié de chaleur mais retourné par l’émotion.

Le Figaro-Laure Bernard

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